L’art n’est plus la seule préoccupation d’esthètes, d’élites ou de marchands, mais se vit au quotidien
C’est chose désormais avérée : l’art n’est plus la seule préoccupation d’esthètes, d’élites ou de marchands, mais se vit au quotidien. Et il est vrai que mettre une touche arty dans son environnement immédiat ou son mode de vie les agrémente joyeusement.
Tout peut être sujet ou objet artistique, un meuble, un objet fonctionnel, et même une gourmandise.
C’est le thème qu’a choisi d’offrir à une pléiade de jeunes artistes Radhia Camoun, fondatrice de la chaîne éponyme d’espaces « Gourmandise ».
Qu’est- ce que le plus doux des sept péchés capitaux pouvait inspirer, et comment peut-on le mettre en image ?
Il faut croire que nos artistes sont gourmands car ils ont été nombreux à répondre à l’appel à candidature : artistes confirmés, étudiants des Beaux Arts frais émoulus, graphistes, photographes et même….un pâtissier.
La moisson était fort belle. Il y eut une pléiade de participants, et il fut difficile de les départager. On exposa les finalistes, et le choix des cinq lauréats se joua au cordeau.
Car, il faut le reconnaître, les participants, de formation artistique confirmée ou improvisée, avaient du talent, un joli trait de crayon, de l’humour, de l’imagination et du goût.
La gourmandise est, en fait, un bien joli péché, inutile de faire mea culpa.
Voici les dessins retenus :