Accueil Sport Troisième quart de finale face au Burkina Faso: Chasser le signe indien

Troisième quart de finale face au Burkina Faso: Chasser le signe indien

La Tunisie devra démentir l’adage « jamais deux sans trois» et chasser le signe indien en éliminant enfin le BurkinaFaso d’une édition de la CAN.

Les Etalons burkinabés sont une vieille connaissance de la Tunisie en Coupe d’Afrique des nations, notamment à ce stade de la compétition des quarts de finale. Pour avoir croisé le fer avec le Burkina en 1998 et plus récemment en 2017 avec deux éliminations amères, l’heure de la revanche a sonné pour les Aigles de Carthage. L’élimination en 2017 reste difficile à digérer encore aujourd’hui même si «beaucoup d’eau a coulé sous les ponts» et qu’il y a une nouvelle équipe qui se présente face aux Etalons. Sans être la vraie bête noire à l’instar du Cameroun qui nous a carrément barré la route, à deux Mondiaux de football en 1990 et 2014 lors des barrages ultimes, le Burkina Faso se présente dans la peau du favori à cause de l’historique des confrontations directes. 

Les six confrontations en bref

Les Aigles de Carthage et les Etalons se sont affrontés à 6 reprises dans leur histoire. La Tunisie a gagné une seule fois pour deux nuls et trois défaites. La seule victoire à ce jour remonte au 29 décembre 1995 en match amical (3-0) qui fait suite à une autre partie amicale à Ouagadougou deux mois auparavant,  achevée sur le score nul de 2 à 2. Ensuite, il y a eu deux confrontations en quarts de finale de la CAN : en 1998 au Burkina Faso et en 2017 au Gabon conclues par deux éliminations amères. La première après une loterie de tirs au but 8 à 7 pour les Burkinabés (alors que la Tunisie avait le penalty de la qualification), la seconde avec le but décisif d’Aristide Bancé sur coup-franc et un second but dans la cage vide dans les  dernières minutes de la rencontre. Entre-temps, une double confrontation face au Burkina-Faso en 2008 avec une défaite surprenante à Radès le 1er juin sur le score de 2 à 1 puis un nul vierge à Ouagadougou trois mois plus tard lors des éliminatoires de la Coupe du monde en Afrique du Sud 2010 sans conséquences.

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