Les tour-opérateurs et les agences de voyages semblent optimistes tant que la confiance est rétablie, surtout au niveau sanitaire et sécuritaire. On commence à récupérer le personnel.
A Zarzis, le secteur du tourisme fait vivre des centaines de familles d’une façon directe et autant indirectement. Cependant, depuis lapropagation du coronavirus, la région a connu les affres de l’épidémie qui a fait des ravages. Les unités hôtelières ont alors fermé leurs portes et par conséquent les employés se sont retrouvés au chômage, sauf ceux qui ont accepté d’être reconvertis, provisoirement, en gardiens de jour ou de nuit. L’accalmie due à la crise économique a duré deux ans environ.
Mais maintenant que la cinquième vague d’Omicron tire à sa fin et que les cas positifs sont de moins en moins nombreux, on tourne la page.
On commence à bouger dans la zone touristique où les activités sont manifestes. Les préparatifs de la nouvelle saison qui s’annonce bonne vont bon train. Peinture, badigeonnage, entretien des piscines et du gazon, jardinage, vente de meubles (tables, chaises, salons, réfrigérateurs, climatiseurs, équipements de restauration) de la part de quelques hôtels qui veulent rénover pour accueillir les touristes étrangers et tunisiens dans de bonnes conditions.
Les tour-opérateurs et les agences de voyages semblent optimistes tant que la confiance est rétablie, surtout au niveau sanitaire et sécuritaire. On commence à récupérer le personnel.
L’Agence de la protection du littoral et la municipalité devront dès à présent programmer des campagnes pour la propreté de la zone et l’entretien des environs des hôtels à temps.