Accueil A la une L’équipe nationale depuis hier à Bamako (Mali-Tunisie, demain à 18h00) : Rien n’est facile, mais tout est possible !

L’équipe nationale depuis hier à Bamako (Mali-Tunisie, demain à 18h00) : Rien n’est facile, mais tout est possible !

Après une dernière séance à Tunis effectuée dans la matinée, la délégation tunisienne s’est envolée hier après-midi  pour Bamako à bord d’un avion spécial. Prendre option à l’aller n’est pas chose facile, mais c’est dans les cordes de nos internationaux.

Pour Jalel Kadri, ses adjoints et ses joueurs, la double confrontation contre le Mali est sans aucun doute l’événement sportif majeur de l’année. Pour Jalel Kadri, cette double confrontation est même un événement déterminant qui peut donner un autre élan à sa carrière d’entraîneur.  Jalel Kadri est parti, hier, à Bamako, conscient du poids de la responsabilité qui pèse sur ses épaules : «J’aspire, ainsi que tous les membres de mon staff, à défendre l’héritage laissé par nos prédécesseurs en nous qualifiant pour la sixième fois dans l’histoire du football tunisien à une phase finale de Coupe du monde. Nous partons à Bamako forts d’un capital -confiance qui s’est construit sur la base de notre expérience en Coupe du monde. Nous nous sommes qualifiés cinq fois et ce n’est pas rien», a-t-il déclaré, en parlant de cette double confrontation contre le Mali et de confier à propos de son statut de sélectionneur : « Après 22 ans dans le métier, je crois avoir suffisamment d’expérience pour prétendre au poste de sélectionneur national. D’ailleurs, c’est le rêve et la consécration suprême de tout entraîneur ».    

Maâloul : maladresse !   

Mardi après-midi, le staff technique national a reçu, malgré lui, un hôte inattendu. En effet, Wadie Jary était accompagné de l’ancien sélectionneur qui a conduit l’équipe de Tunisie durant le Mondial de Russie en 2018, Nabil Maâloul. Ce dernier, qui a perdu il  y a un peu plus d’un mois, la Supercoupe du Koweït, semble être à l’affût de nouvelles opportunités. Sinon, comment expliquer sa venue mardi aux entraînements de l’équipe nationale ? Maâloul a débarqué avec Wadie Jary sous prétexte qu’il est venu encourager la sélection à la veille de son déplacement à Bamako. Son geste émane  d’une maladresse sans équivoque. Sa visite ne peut qu’agacer le staff technique national en place. C’est comme si on dit à Jalel Kadri, Ali Boumnijel et Slim Ben Achour : C’est le probable futur sélectionneur national. Vous n’avez qu’à faire le plus difficile et lui préparer le terrain en qualifiant l’équipe nationale à la phase finale du Mondial qatari !. 

Wadie Jary, en premier responsable de l’équipe nationale, aurait dû penser deux fois avant d’accepter la visite de Nabil Maâloul. C’est irrespectueux envers Jalel Kadri et son staff.

Elyès Skhiri, dernier arrivé    

Retardé à cause d’une grève dans les aéroports allemands, l’arrivée d’Elyès Skhiri a été retardée à hier matin. Par ailleurs, l’équipe nationale a effectué hier matin à partir de 10h00 son ultime séance d’entraînement à Tunis, avant de s’envoler dans l’après-midi à destination de Bamako. Pour ce qui est de la séance de la veille du départ, effectuée mardi, elle a connu la participation de 25 joueurs. L’occasion pour Jalel Kadri de programmer un match d’application et de tester des plans de jeu pour le match de demain.

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