Les associations ont toujours répondu à l’appel pour venir au secours de l’hôpital, des familles nécessiteuses, du club sportif de la ville, des établissements scolaires, des handicapés… quand il le faut.
Que serait devenue la ville de Zarzis et comment aurait-elle pu se comporter, en temps d’épidémie, surtout sans l’aide et le soutien moral et matériel des associations humanitaires et notamment «Trait d’union-avenir de Paris», Association des Zarzissiens de France (AZF) et Secours Zarzis; ainsi que d’autres exerçant sur place à l’instar de l’Association de développement et de coopération internationale (Addci), l’Association oxygène et l’Association de développement intégré — Souihel Zarzis (Adisz) ? Ces associations ont toujours répondu à l’appel pour venir au secours de l’hôpital, des familles nécessiteuses, du club sportif de la ville, des établissements scolaires, des handicapés… quand il le faut.
Toujours sur la même voie et pour faire face aux difficultés matérielles et au manque d’équipements indispensables que doit avoir l’hôpital régional de la ville, une autre frange patriotique constituée de Zarzissiens résidant aux États-Unis d’Amérique n’est pas restée les bras croisés. Intellectuels, ils sont conscients de ce qui pourrait arriver aux citoyens de leur ville natale, et surtout les nécessiteux, sans l’aide qui viendrait d’ailleurs en cette période de crise.
Dans ce contexte, l’Association «Tunisia And» a offert un don de matériel à l’hôpital régional de Zarzis dont le coût est estimé à 192.000 dollars, grâce aux efforts accomplis par M. Ridha Nouaïli, le Dr Tatak Abichou et d’autres concitoyens.
Cependant, ce qui est bizarre, ce sont les formalités administratives puisque les conteneurs sont restés cinq longs mois au port de Radès !…
