Depuis un certain temps déjà, les actes de violence sont de plus en plus fréquents aussi bien en public qu’en privé. Pour un oui ou un non, un regard insistant, on en vient aux mains et cela dégénère souvent en bagarre organisée pour un motif aussi futile que vague qu’on peut régler d’ailleurs pacifiquement. Et évidemment avec la «hchicha» de Ramadan, cela augmente. Il faudrait réapprendre, à nos citoyens, les règles de voisinage, du bon comportement, etc. Et cela, c’est l’affaire de tous, à commencer par la cellule familiale.
T.B.