Quand il y a un problème de transport (quel qu’il soit), les citoyens sont obligés de se rabattre, à leur corps défendant, sur les taxis. Et là commence le jeu du chat et de la souris. En effet, les taximen choisissent les destinations qui les arrangent et ont toujours des motifs pour refuser telle ou telle course. C’est la loi du plus fort. Si enfin, vous arrivez à dégoter un taxi, attendez-vous à une autre surprise, car le taximan a plus d’un tour dans son sac et rajoutera un détour à son itinéraire. Alors, ne vous étonnez pas si, au lieu de l’aéroport, vous vous retrouvez à l’hippodrome de Ksar Saïd. A vos risques et périls. Il est grand temps de moraliser ce secteur.
T.B.