Partout dans le monde, même dans les pays où il pleut souvent et où l’eau ne manque pas, on économise ce précieux liquide aussi bien côté individuel qu’étatique. C’est qu’on a conscience que rien n’est définitif. Chez nous, aussi bien les particuliers que les autorités usent et abusent de ce précieux liquide. Sinon comment expliquer qu’on se permette d’arroser à 9h00 du gazon ou de l’herbe (qui ne servent à rien tous les deux ) sous la colline de Sidi Belhassen en mobilisant un tracteur et une citerne, sans compter les préposés affectés à cette tâche pour le moins incongrue. Cela s’est passé mardi matin, pour précision.
T.B.