Le Sept national a déposé hier ses valises en Pologne en vue de sa participation au tournoi international de Cracovic aux côtés de ses homologues brésilien, coréen et polonais. Soit trois adversaires de poids qui ont, à juste titre, la réputation d’être des équipes au contact desquelles on frémit en match officiel, et on apprend en rencontre amicale. Et d’ailleurs, les nôtres pourraient les affronter s’ils venaient à se qualifier au deuxième tour du prochain Mondial. D’où l’assurance avec laquelle on peut parier sur les innombrables bienfaits que générera ce tournoi de Pologne.
En quête d’une meilleure ompétitivité
En effet, l’entraîneur national, Patrick Cazal, en quête d’une meilleure compétitivité de son groupe qui souffre d’un déficit de matchs amicaux d’application, ne trouvera pas mieux que cette occasion pour espérer y parvenir. Face à ces sparring-partners connus pour leur puissance physique, la richesse de leur handball et leur rapidité d’exécution en phase de contres, le Français aura plus de cordes à son arc pour redresser, rectifier, améliorer et finalement fructifier son capital. Faisons donc confiance à cet ex-Dunkerquois, pur produit de la célèbre école de l’Hexagone, qui saura, espérons-le, révolutionner la sélection nationale, aidé en cela par la compétence de ses staffs technique et médical, mais aussi par les bonnes conditions de travail qu’on lui a fournies.
Sur un autre plan, il faut espérer que le tournoi de Pologne s’achèvera sur «zéro blessure» afin d’atteindre, en bonne posture, le dernier virage de la préparation à Monastir.
Photo FTHB
