Dr Ilaoui, féru d’histoire, et qui optera pour l’égyptologie, savait d’avance que le chemin ne serait pas facile, surtout qu’il devait apprendre les rudiments du grec et du latin pour pouvoir s’aventurer par la suite dans le décryptage de l’écriture hiéroglyphique. Il est désormais une autorité reconnue dans le cercle des historiens modernes.
Son excellence Khaled Fahd El Hajeri, ambassadeur du Qatar en Belgique et au Grand-Duché du Luxembourg, a rendu hommage récemment à l’écrivain tunisien Taoufik Ilaoui, dont le livre sur l’histoire ancienne de l’Egypte fait partie des œuvres de la prestigieuse bibliothèque de La Haye. Dr. Ilaoui qui, féru d’histoire, optera pour l’égyptologie, savait d’avance que le chemin ne serait pas facile, surtout qu’il devait apprendre les rudiments du grec et du latin pour pouvoir s’aventurer par la suite dans le décryptage de l’écriture hiéroglyphique, est désormais une autorité reconnue dans le cercle des historiens modernes s’illustrant par sa forte personnalité de chercheur et sa volonté de conquérir une existence à part entière entre érudition et histoire pour présenter une réalité «entrecroisée» entre la civilisation pharaonique et le reste des civilisations.
Son livre, intitulé «La langue des Pharaons», présenté le 6 juin 2014 à la ville de Leiden aux Pays-Bas offre une belle démonstration de la pertinence de la méthodologie employée pour faire la lumière sur plusieurs épisodes de cette civilisation ancienne et ses connexions avec les autres cultures.
Son dernier ouvrage intitulé «Hospital for The Soul» nous fait plonger dans l’univers d’illustres figures égyptiennes, grecques et romaines : Ptahhotep, Socrate, Aristote, Seneca Marcus Aurelius et autres, avec des citations philosophiques qui nous guident à travers leurs pensées et leurs parcours.
Tout en continuant à enseigner, l’auteur poursuit ses recherches en vue de faire avancer, en compagnie de quelque cinq cents spécialistes dans le monde de l’écriture hiéroglyphique, la découverte de cette langue, jamais morte.