De toute façon, les plages les plus prisées, à l’instar de La Corniche, Sonia, Amira, Béni Fteïel et Hassi Jerbi, ne sont pas encore prises d’assaut par les estivants. Mais on peut tout rattraper.
Dans la presqu’île de Zarzis, la saison estivale s’annonce bonne, contrairement aux saisons précédentes. Sept unités hôtelières en plus de trois maisons d’hôtes ont ouvert leurs portes et accueillent déjà plusieurs touristes.
L’ouverture du poste frontalier de Ras Jedir, le retour de nos compatriotes résidant à l’étranger et les estivants venant des régions intérieures créent également une dynamique qui s’intensifie au fil des jours dans la ville et notamment dans la région de Souihel, zone touristique par excellence.
Toutefois, les préparatifs et la campagne de propreté entamés il y a longtemps n’ont pas produit l’effet escompté jusqu’à présent, faute de moyens humains et matériels nécessaires au bon réaménagement de l’environnement. Touristes et citoyens tunisiens se plaignent tous les jours de l’odeur nauséabonde des eaux usées déversées dans la mer, non loin des restaurants et cafés basés sur la plage.
On peut se rattraper
Ainsi, les bouteilles en plastique et les tas de déchets, tous types confondus, jonchant le long de la murette et dans la zone réservée au DPM, défigurent aussi le beau paysage et compliquent la mission des agents municipaux, puisque cela se produit chaque jour.
De toute façon, les plages les plus prisées, à l’instar de la Corniche, Sonia, Amira, Béni Fteïel et Hassi Jerbi, ne sont pas encore prises d’assaut par les estivants. Du reste, on peut toujours rattraper le temps perdu en renforçant le personnel et le matériel de propreté. Des maîtres nageurs sont également indispensables pour ne pas vivre des drames tels que ceux vécus lors des mois précédents.