La plupart des enfants n’avaient plus le droit de pratiquer leur sport favori, mais avaient parfois le droit de voir leurs camarades, voisins, parents, évoluer de l’autre côté de la rue bordant le terrain, ou à partir des gradins ou de la salle. S’ils ont la chance de pouvoir y entrer.
Nous avons déjà soulevé ce problème que posent les « académies sportives » en son temps et cette institution d’un sport à deux vitesses, rampant, affligeant et surtout insupportable pour la majorité écrasante des familles. Des familles en fin de compte bousculées par leurs enfants qui veulent faire du sport.
Que ces enfants aient des qualités à faire prévaloir ou non, cela est absolument secondaire. Un enfant, un citoyen, a le droit de pratiquer une activité sportive. Pour sa santé, son équilibre physique, moral et psychologique, c’est son droit absolu.
La question qui se pose est essentielle : où ?