L’application, après toute une démarche, d’une amende de 150 D à l’encontre des taximen récalcitrants ne semble pas dissuasive. Aussi, faut-il leur exiger davantage de rigueur, étant donné qu’ils commettent de nombreux abus sur les routes : circulation prolongée en mode «hors service», statut «libre» sans s’arrêter à l’appel, le client est totalement désemparé.
L’appel semble, cette fois-ci, n’être pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Lotfi Riahi, président de l’Organisation tunisienne pour informer le consommateur (Otic), avait appelé à interdire temporairement l’usage des applications de taxis en Tunisie.
En effet, comme première mesure, l’État tunisien, conscient du pourrissement de la relation entre le taxi et son client, a pris la peine de durcir les conditions de travail de ces taximen fauteurs de troubles.
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