Accueil Culture L’acteur égyptien Nabil El-Halfawy plongé dans le coma après une crise de santé grave

L’acteur égyptien Nabil El-Halfawy plongé dans le coma après une crise de santé grave

L’acteur et légende égyptienne Nabil El-Halfawy, 77 ans, a été admis en urgence dans un hôpital privé au Caire après une grave dégradation de son état de santé.

L’artiste a perdu connaissance suite à une chute sévère de la circulation sanguine, nécessitant son transfert immédiat en soins intensifs.

Selon des sources médicales, Nabil El-Halfawy est actuellement sous surveillance stricte, et les visites sont formellement interdites afin de garantir un environnement favorable à sa récupération.

Les médecins s’efforcent de stabiliser son état, d’autant plus que l’acteur aurait également subi une crise thoracique aiguë l’empêchant de respirer normalement.

Un proche de la famille a indiqué que l’artiste souffrait depuis un certain temps de problèmes respiratoires chroniques, aggravés par son âge avancé et d’autres pathologies liées à la vieillesse.

Après avoir passé des examens médicaux approfondis, incluant des radiographies et des analyses, les médecins ont jugé indispensable son admission en soins intensifs. Ses deux fils, les réalisateurs Khaled et Walid El-Halfawy, se tiennent actuellement à son chevet.

Reconnu comme l’un des grands noms du cinéma et de la télévision égyptienne, Nabil El-Halfawy a marqué plusieurs générations à travers des œuvres emblématiques. Parmi ses rôles les plus mémorables figurent les séries “Rafaat El-Hagan”, “Ghawayech », « El-Ziny Barakat”, et “El-Malik Farouk”, ainsi que des films tels que “Attarik Ila Eylat”, “Les Pauvres n’entrent pas au paradis” et “Fuite au sommet”, « L’agent N 13 »…

Né en 1947, Nabil El-Halfawy est considéré comme l’une des figures les plus respectées du paysage artistique égyptien. Avec une carrière qui s’étend sur plusieurs décennies, il a su s’imposer dans des rôles aussi bien historiques que contemporains, offrant des performances mémorables qui résonnent encore aujourd’hui.

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