
Obligation de gagner face au ST pour Slim Rebai et ses partenaires tout en espérant des résultats favorables à Gafsa et au Zouiten.
La Presse — À deux matches de la fin du championnat, l’UST (19 points), l’ASG et EGSG (22) et la JSO (23) sont les quatre équipes concernées par la dure bataille de la survie en Ligue 1. Parmi ces quatre concurrents pour éviter la descente en Ligue 2, les Tataouinis paraissent logiquement les moins favorisés pour pouvoir changer un destin mathématiquement pas encore entériné, mais logiquement quasi scellé. Il leur faudrait, en effet, les six points contre le ST aujourd’hui et face à l’ESM mercredi et des faux pas en cette fin de parcours des trois autres adversaires pour réussir un sauvetage qui serait vraiment miraculeux. Les hommes de Hakim Zahafi, tout en œuvrant pour la victoire aux dépens des Bardolais, suivront de très près les deux matches de Gafsa (EGSG-ASG) et de Zouiten (JSO-USBG). C’est au résultat de ces deux rencontres que leur sort est également lié. Un score de parité serait l’idéal entre El Gawafel de Gafsa et le Carrelage de Gabès, alors que la JSO ne doit pas obtenir plus qu’un point devant l’USBG. Par contre, un succès de l’équipe d’El Omrane et trois points aux Gafsiens sonneraient le glas de l’équipe sans attendre les résultats de la dernière journée. Car même avec la possibilité d’atteindre le seuil maximum de 25 points (deux victoires sur le ST et sur l’ESM) et l’espoir d’une défaite de la JSO à Zarzis et d’El Gawafel de Gafsa à Ben Guerdane le 14 mai après un succès dans les rencontres de cet après-midi (25 points au compteur), l’UST sera désavantagée par ses deux confrontations directes avec la JSO (un point contre quatre avec un match nul et une défaite) et avec EGSG (zéro point avec deux défaites dans les deux matches aller et retour). Autant dire que les Tataouinis seront devant l’obligation de gagner leur match contre le ST, de prier pour un concours miraculeux de résultats favorables aujourd’hui au Stade Mohamed Rouached de Gafsa et au Stade Chedly Zouiten pour garder un brin d’espoir.