Une des devises fortes du Président Kaïs Saïed et de son programme pour l’avenir de la Tunisie consiste à garantir son unité nationale, son indépendance et l’attachement inébranlable à sa souveraineté, ce qui laisse entendre, d’une manière ferme, l’existence d’un gouvernement central fort et détenant la majorité des pouvoirs dont celui de la gestion des différentes régions du pays.
La Presse — Il s’agit là d’une constante du projet présidentiel tout en étant garantie par les textes de la Constitution mettant l’accent sur ce concept de l’unité dans le sens où tous les mécanismes, au niveau central et régional, agissent de concert et dans une symbiose totale pour gérer les affaires publiques.
Cette approche vient d’être confirmée lors de la tenue du dernier Conseil des ministres, présidé par le Chef de l’Etat, qui a annoncé bon nombre de bonnes nouvelles, dont l’adoption par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) de l’abolition définitive de la pratique de la sous-traitance ainsi que d’autres faits positifs à venir rompant définitivement avec le passé.
Et mettant en exergue, une nouvelle fois, l’unité du pouvoir, le Président de la République a tenu à mettre en valeur l’homogénéité des actions et des décisions arrêtées aussi bien par l’autorité exécutive que législative, prouvant, une fois encore, l’entente entre les deux fonctions dont l’objectif commun reste, indéniablement, le bonheur des citoyens où qu’ils se trouvent dans les diverses régions du pays.
« La convergence des actions entre les fonctions législative et exécutive est issue de la même volonté populaire », a souligné en substance, à cette occasion, le Chef de l’Etat qui insiste sur l’émergence d’un avenir prometteur, marqué par « la lumière de la justice, de la liberté et de la dignité nationale », ajoutant que « ce lendemain radieux est proche pour ceux qui savent le voir venir ».
Il est à rappeler que le Président Saïed a déjà assuré, à maintes reprises, que la fonction législative doit consacrer la légitimité revenant de droit au peuple, tout en exhortant les responsables, à tous les niveaux, à accomplir leurs missions dans les meilleures conditions et dans les meilleurs délais en ce sens qu’ils sont tenus d’aplanir les difficultés sans attendre les directives, «venues d’en haut», ce qui veut dire que tout responsable, à quelque position que ce soit, doit être conscient de ce qu’on attend de lui.
Ainsi, le processus prôné par le Chef de l’Etat consiste à faire avancer le pays dans le cadre d’une gestion saine loin des manœuvres partisanes destinées à agir à reculons vers les années sombres dont celles de la décennie dite noire.
Et pour garantir un développement durable et global, les deux fonctions exécutive et législative doivent avancer en rangs serrés, sans retour en arrière que certains corrompus et autres incompétents sont tentés de faire renaître en revenant eux-mêmes au centre des décisions dans un scénario d’obédience à des forces occultes et des lobbies en provenance de l’étranger.
Mais c’est compter sans la détermination du Président de la République qui avance inexorablement, main dans la main avec l’appui de l’ARP, comme cela vient dêtre parfaitement illustré par les amendements profonds du Code du travail dont notamment l’abolition de la sous-traitance, une pratique honteuse désormais reléguée aux oubliettes.
