
Dans les pays démocratiques, on construit l’avenir avec les jeunes et pour les jeunes dans le sens que cette catégorie est responsable de la conception de son devenir et ne doit pas attendre que l’on lui donne les moyens et qu’on lui offre les opportunités de s’imposer auprès des décideurs par ses approches et orientations.
En Tunisie, bien avant l’avènement de la révolution de la liberté et de la dignité et aussi la bataille pour la libération nationale, la jeunesse a joué un rôle déterminant dans l’accession de notre pays à l’indépendance et à la liberté de sa décision nationale.
Et même au cours de certaines périodes du parcours national civilisationnel, plusieurs erreurs ont été commises, le plus souvent volontairement, personne n’a jamais prophétisé que la Tunisie a déchanté de ses jeunes.
Ils sont plusieurs centaines à se considérer comme des exclus du processus de développement et à chercher à quitter le pays bernés qu’ils sont par le faux espoir de s’installer en Europe, il subsiste toujours parmi des centaines de milliers d’autres jeunes la conviction que la Tunisie a besoin d’eux et qu’aucun pays étranger ne peut, en aucune manière, remplacer le bonheur et la fierté de servir la mère patrie.
Le Président Kaïs Saïed, porté au pouvoir grâce, dans une large mesure, au soutien agissant des jeunes ayant découvert en sa personne le leader qu’ils cherchaient, ne cesse de se montrer à la hauteur de ses promesses et d’agir pour que les jeunes se prennent effectivement en charge et prouvent qu’ils méritent de sa confiance et aussi de celle des Tunisiens qui demeurent convaincus que leur pays n’a de choix que de relever les défis et de gagner les paris de son intégration dans l’orbite des pays développés. Grâce précisément à l’apport de ces jeunes et à leur adoption de la militance prônée par le Président de la République, laquelle militance érige l’amour de la Tunisie au rang du sacré et l’engagement pour son progrès au rang d’un devoir absolu.