Une formule permet à des estivants de séjourner chaque année, pendant une semaine, dans un appartement situé en bord de mer à Djerba. Sur le papier, l’idée est captivante et attire de nombreux vacanciers, séduits par des promesses idylliques. Pourtant, certains propriétaires ne respectent pas les engagements liés à cette formule. À leur arrivée, les estivants découvrent un logement dégradé: absence de climatisation, de réfrigérateur, saleté omniprésente, cafards inclus…
Une situation qui plonge les vacanciers dans un profond malaise. Face à leurs plaintes, les responsables se contentent souvent de répondre qu’il n’y a rien à faire. Ce n’est qu’après une menace de déposer une plainte au poste de police que le directeur est intervenu, après des heures d’éréthisme, proposant finalement un autre appartement.
Pourquoi faut-il aller aussi loin pour obtenir une solution simple et évidente? Ce manque de considération engendre des tensions, soit avec l’administration, soit au sein même des couples, exténués et contraints de rentrer chez eux plus tôt. Jusqu’à quand va-t-on tolérer une telle indifférence ?
