
Unité arabe et islamique face à l’agression
Les dirigeants ont qualifié cette agression de « menace grave » pour la paix et la sécurité régionales et internationales, ainsi que de « violation flagrante du droit international ».
Ils ont affirmé leur solidarité absolue avec le Qatar, soutenant toutes les mesures entreprises par l’État pour protéger sa souveraineté, sa stabilité et la sécurité de ses citoyens.
Les participants ont dénoncé l’impunité de l’occupant sioniste, appelant la communauté internationale à le tenir responsable de ses crimes et violations répétées.
Palestine : fin de l’occupation et État indépendant
Le communiqué final appelle à :
- La fin de l’occupation sioniste en Palestine ;
- La création d’un État palestinien indépendant dans les frontières de 1967 ;
- El Qods-Est comme capitale de cet État.
Les dirigeants ont rejeté toute tentative de déplacement forcé ou de nettoyage ethnique, qualifiant ces pratiques de crimes contre l’humanité. Ils ont aussi condamné les politiques de blocus, famine et colonisation, assimilées à des crimes de guerre.
Avertissement contre les politiques de fait accompli
Les dirigeants arabes et islamiques ont averti contre les tentatives sionistes visant à imposer un nouvel ordre de fait accompli dans la région ou à saper les efforts de médiation.
« Toute attaque contre le Qatar constitue une attaque contre l’ensemble du monde arabe et islamique », souligne le communiqué.
Le rôle central du Qatar dans la médiation
Le sommet a salué le rôle du Qatar dans les efforts de médiation pour mettre fin à la guerre génocidaire sioniste à Ghaza.
Les dirigeants ont également accueilli favorablement la « Déclaration de New York » adoptée à l’ONU, réaffirmant l’importance de la solution à deux États.
Appel au Conseil de sécurité de l’ONU
Enfin, les chefs d’État arabes et islamiques ont exhorté le Conseil de sécurité à fixer un calendrier contraignant pour mettre fin à l’occupation et garantir une solution juste et durable au conflit.