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Les Indiscretions d’Elyssa

Les indiscrétions d'elyssa

Qui peut me dire pourquoi?

Qui saurait me dire pourquoi nous, Tunisiens, tenons vaillamment à faire perdurer une mesure qui, je crois savoir, ne se pratique plus dans aucun aéroport du monde : enlever ses chaussures au contrôle de police.

Encore si on nous offrait des chaussons pour nous éviter de marcher dans la poussière des centaines de chaussures nous ayant précédé !

Autre bizarrerie de l’aéroport Tunis-Carthage

Ces serpentins rigides et inamovibles que vous devez parcourir sur des dizaines de mètres quand bien même vous seriez seul à les arpenter. Partout ailleurs, on utilise des circuits modulables que l’on adapte au flux de passagers. Des lanières retenues par des crochets permettent de raccourcir le chemin selon les besoins. Outre que cela est plus pratique et plus efficace, cerise sur le gâteau, cela coûte certainement moins cher à réaliser.

Dans le port de Mahdia

Au milieu des coques de navire du chantier naval et des dépôts réfrigérés, un petit atelier étonne et détonne. On n’y fait pas de la saumure, non plus que des conserves. Encore moins des filets de pêche. Là, Nargès, jeune scientifique inventive et audacieuse, broie des pépins de figue de Barbarie et en extrait une huile miraculeuse pour la beauté. Il faut une tonne de figues de Barbarie pour quelques kilos de pépins qui donneront quelques centilitres d’huile. Ce qui explique que ce soit l’huile la plus chère du monde. Mais dit-on, la plus efficace.  

Yes we can

Lotfi Hamadi ne pouvait ne pas participer à l’immense mouvement de solidarité pour Gaza : Thousand Madleens to Gaza

Un navire aux couleurs de «Wallah we can» quit a quitté Catane transportant du matériel scolaire pour les 1.500 orphelins du Gaza Children Village

Quant à Lotfi Hamadi, il est de retour à Tunis pour mobiliser toutes celles et ceux qui, par leurs moyens, leurs réseaux, leurs compétences, peuvent aider ici, là-bas ou ailleurs. Qu’on se le dise

Koraïchi au British Museum

Inaugurant un nouveau concept, le grand musée invite, dans le cadre des collections permanentes, et pour une durée d’une année, un artiste à occuper un mur de 7mètres sur 5. Le premier artiste invité est Rachid Koraïchi en compagnie de l’immense poète Mahmoud Darwich

«Une Nation en exil» est le titre de cette installation et des milliers de personnes s’arrêtent devant ce mur.

Le choix du British Museum mérite toute considération.

Une installation similaire avait été présentée au Centre Pompidou Metz

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