Les artistes auront l’opportunité de présenter leurs travaux et de vendre une sélection d’œuvres dans des espaces/ateliers à leur image, mais, également, de créer tout spécialement pour l’événement.
Cette période pandémique, qui semble s’éterniser, a été, préjudiciable pour la culture et pour l’art. En Tunisie, pas mal d’initiatives ont vu le jour, depuis le début de la crise sanitaire, afin d’y remédier un tant soit peu. Leur objectif était, avant tout, de permettre aux artistes de présenter leurs œuvres via des plateformes numériques. Nous citons, entre autres, celle d’Archivart, une plateforme d’expertise dans l’art contemporain africain. Également galerie virtuelle, elle reflète la tendance digitale de son époque, valorise ses artistes et archive leurs traces à travers les années.
Entre expositions, interviews d’artistes sous forme de capsules vidéo (publiées sur les différents réseaux sociaux de la plateforme) et visites et immersions dans leurs ateliers, cette plateforme était fortement présente depuis l’avènement de la Covid-19, offrant visibilité et accès à l’art.
L’Institut français de Tunisie s’est associé à Archivart pour organiser le «Salon pour l’Amour de l’art», qui se tiendra les 26 et 27 février 2021. Une manière de relancer la consommation directe de l’art maintenant que la culture commence à souffler un petit peu.
Les cimaises de l’IFT abriteront, à cette occasion, des œuvres d’artistes de différents univers : Atelier Glibett, Rachida Amara, Hela Ammar, Safa Attyaoui, Kaouther Bahri, Mohamed Ben Dhia, Kais Ben Farhat, Anis Ben Jemaa, Bacem Ben Othman, Sirin Boubaker, Marianne Catzaras, Najet Dhahbi, Hichem Driss, Chehrazed Feki, Besma Haddaoui, Mouna Jemal Siala, Kero, Koom, Chawki Lahmar, Hela Lamine, Omeyma Medini, Ahmed Mhennaoui, Mylow, Noura Mzoughi, Pesko, Faten Rouissi, Hamza Sellmi, Othmen Taïeb, Dalel Tangour, Majed Zalila, Aïcha Zarrouk, Salim Zerrouki. Ces derniers auront l’opportunité de présenter leurs travaux et de vendre une sélection d’œuvres dans des espaces/ateliers à leur image, mais, également, de créer tout spécialement pour l’événement une œuvre ou une série limitée pour aller dans le sens d’une plus grande ouverture aux différents publics.
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