
Après la drogue, les rackets et les braquages à proximité des établissements scolaires, voilà que l’on passe la vitesse supérieure.
Car, selon ce qui a été rapporté, notamment par la presse écrite, ce sont des bandes bien structurées et organisées, portant même des tenues réglementaires (des blouses blanches) qui opèrent en plein jour et sans crainte, en attirant des jeunes filles, notamment, et en leur injectant des produits dont on ne sait pas grand-chose jusqu’à présent.
Cela démontre, si besoin est, que ce ne sont pas des cas isolés, puisque cela s’est passé simultanément dans 3 gouvernorats. Alors, attention, surtout que, pour le moment, ce sont des filles — mineures, faut-il le rappeler — qui sont visées.
T.B.