Des «citoyens», profitant de l’absence de l’Etat, font ce que bon leur semble. Ainsi, ils érigent des constructions anarchiques défiant le code de l’urbanisme et cela au vu et au su des autorités qui — bien que ces images fassent le buzz sur les réseaux sociaux — font la sourde oreille.
Alors que des démolitions ont été effectuées un peu partout notamment à Sousse, La Marsa, Radès…, à Sfax, sur la route d’El Matar, km 0,5, près de l’hôtel Donia, le propriétaire d’un café a procédé (en dur) — sur le trottoir jusqu’à toucher presque la chaussée — à une extension de son commerce et cela sans aucune réaction de qui de droit.
Comment voulez-vous qu’une personne âgée, une maman avec poussette ou un enfant se déplace sur des bordures pareilles? Alors, à quand une réaction de la municipalité pour arrêter cette hémorragie de constructions anarchiques?
T.B.