La victoire remportée à domicile devant le CSS mardi dernier a permis à l’équipe de se relancer. Aligner la passe de deux cet après-midi à Radès permettrait à l’USM de rester sur sa lancée. C’est le but à atteindre pour Faouzi Benzarti qui n’arrive toujours pas à assurer la régularité dans les résultats de l’équipe.
En poste depuis le mois d’octobre dernier où il a pris en main les destinées de l’équipe, Faouzi Benzarti et, contrairement à ses habitudes, n’est pas aussi performant. En effet, le «vieux routier» ne parvient pas à être régulier dans ses performances à la tête de l’USM. En témoignent les trois derniers résultats de l’équipe. L’USM est allée battre l’ESS (4-2), puis a été tenue en échec par l’USBG (0-0) avant de rectifier le tir mardi dernier en s’imposant à domicile devant le CSS (1-0).
Rester sur sa lancée en alignant la passe de deux sera, donc, le défi de Faouzi Benzarti, cet après-midi à Radès, face au CA de Adel Sellimi.
On garde les mêmes…
Tout à l’heure, Faouzi Benzarti pourra compter sur son effectif au grand complet, ou presque. Le seul joueur qui manquera toujours à l’appel est Youssef Abdelli, convalescent suite à une blessure à l’épaule et qui a déjà manqué à l’appel lors de l’explication de mardi dernier contre le CSS. La blessure de Youssef Abdelli nécessite encore une dizaine de jours de repos.
Cela dit, c’est la seule absence à déplorer dans l’effectif usémiste. On s’attend, donc, à ce que Benzarti aligne le même onze de départ qui a donné la réplique au CSS. Comme quoi, on ne change pas une équipe qui gagne. On retrouvera surtout le trio étranger de l’équipe, Ousmane Ouattara, Roger Aholou et Youssef Amourou. Un trio qui apporte une plus-value au jeu de l’équipe chaque fois qu’il est aligné d’entrée.
On retrouvera également Hamza Jelassi, Haykel Chikhaoui et Zied Aloui. Bref, le même onze gagnant à moins que le coach usémiste n’effectue un ou deux changements, ce qui est peu probable.
Tout à l’heure, le maître Benzarti croisera le fer avec l’un de ses élèves, Adel Sellimi. L’élève dépassera-t-il le maître ou finalement c’est le vieux sage qui aurait le dernier mot ? Attendons voir !