Quand on voit des jeunes et des moins jeunes, diplômés ou non, faire le plein des cafés du matin au soir, à jouer aux cartes ou bayer aux corneilles, et se plaindre qu’il n‘y a pas de travail, on ne peut qu’ être déçu. Déçu parce que ce n’est pas le travail qui va venir les chercher, mais c’est à eux-mêmes de bouger et de créer. Même s’ils ne réussissent pas au premier coup, il faut qu’ ils récidivent. Surtout ne pas se décourager. La réussite est au bout. Bon courage !
T.B.