Accueil A la une Le Harak du 25 juillet : Un remaniement ministériel fait partie des solutions

Le Harak du 25 juillet : Un remaniement ministériel fait partie des solutions

Cette formation politique se dit déterminée à soutenir la création du conseil supérieur de l’éducation et du conseil supérieur de l’investissement et à appuyer la candidature du Président de la République à la prochaine élection présidentielle, pour lui permettre de poursuivre le processus de
« réforme et d’édification de la nation ».

Le Harak du 25 juillet a appelé, hier, à l’urgence d’opérer un remaniement ministériel. La formation politique estime que la Tunisie est « en état de guerre contre les forces qui tirent vers l’arrière », mettant l’accent sur le besoin d’unir tous les efforts pour sortir le pays de la crise.

S’exprimant en conférence de presse, le président du bureau politique du mouvement, Houssem Ben Ahmed, a estimé qu’il est temps d’opérer un remaniement ministériel, critiquant le rendement de certains ministères en lien direct avec le citoyen.

Selon le secrétaire général-adjoint du Harak, Issam Ben Othman, la Tunisie traverse une période difficile qui requiert de nouvelles visions pour sortir de la crise. Il a ajouté que le pays est en guerre contre les comploteurs et se félicite de la décision du Chef de l’Etat relative à la création d’une commission chargée de vérifier l’authenticité des diplômes et de réviser les nominations au sein de l’administration tunisienne.

Aymen Ouergui, membre du bureau politique du Harak, a passé en revue, dans son intervention, les échéances politiques auxquelles le mouvement participera, à savoir l’élection des membres du Conseil des régions et des districts qui, a-t-il estimé, permettra de tracer la politique économique et d’investissement de l’Etat tunisien.

En outre, le Harak est déterminé à soutenir la création du conseil supérieur de l’éducation et du conseil supérieur de l’investissement et à appuyer la candidature du Président de la République à la prochaine élection présidentielle, pour lui permettre de poursuivre le processus de « réforme et d’édification de la nation ».

Les membres du Harak ont appelé le pouvoir exécutif à assumer ses responsabilités en lien avec la sécurité alimentaire des Tunisiens, les produits subventionnés par l’Etat et les sociétés communautaires.

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