Le Parlement a démenti, hier, dans un communiqué, avoir reçu une demande de révocation du mandat de cinq députés soupçonnés de corruption, ni avoir programmé de réunions consacrées à ce sujet.
L’Assemblée des représentants du peuple ajoute dans le même sens qu’aucune réunion n’a eu lieu sur cette question entre le président du Parlement et une quelconque autre partie.
Plus tôt dans la journée, le président du bureau politique du Harak 25 juillet, Ahmed Adouni, a déclaré que le mouvement a appelé à la révocation du mandat de cinq députés soupçonnés de corruption, ajoutant que le Parlement examinera leur dossier dès la nouvelle rentrée parlementaire.
Il a aussi affirmé qu’une réunion de travail s’est tenue à ce sujet entre le président du Parlement, Brahim Bouderbala, et la ministre de la Justice, Leila Jaffel.
