La chambre pénale auprès du Tribunal de première instance de Tunis a condamné hier par contumace l’ancien président de la République Moncef Marzouki à une peine de huit ans de prison ferme, sur fond de publications qu’il a faites sur les réseaux sociaux.
Marzouki a été inculpé suite à une enquête ouverte à son encontre pour avoir tenté de modifier la structure de l’État, forcé la population à s’attaquer les uns aux autres avec des armes et appelé à la commission d’actes de meurtre et de vol sur le sol tunisien, conformément aux dispositions de l’article 72 du Code pénal.