Accueil A la une En guise d’un sixième blanc : Nos élèves, aujourd’hui, à l’épreuve

En guise d’un sixième blanc : Nos élèves, aujourd’hui, à l’épreuve

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Trois jours durant, soit les 16, 17 et 18 de ce mois, nos élèves se mettent à l’épreuve de leur révision, en guise des préparatifs engagés en prélude à l’examen de la sixième année primaire, prévu du 20 au 22 juin prochain.

Après le bac blanc, la sixième. Cet avant-goût du concours d’accès aux collèges pilotes, marquant la fin du cycle primaire, débute, aujourd’hui jeudi, dans toute la Tunisie. Trois jours durant, soit les 16, 17 et 18 de ce mois, nos élèves se mettent à l’épreuve de leur révision, en guise des préparatifs engagés en prélude à l’examen de la sixième année primaire, prévu du 20 au 22 juin prochain. Ce matin, à partir de 8h00, les petits candidats vont, d’emblée, s’attaquer à la première épreuve écrite, celle de l’Arabe qui s’étalera sur une heure, suivie de l’Anglais, au bout d’à peine une heure. Demain, vendredi, sera réservé au traitement des dissertations du Français et des Sciences de la vie, pour finir la troisième journée avec l’épreuve des Maths. Un mois après ou presque, soit à partir du 20 juin, pendant trois jours successifs, ils vont, alors, passer officiellement le concours d’accès aux collèges pilotes, afin de renouer avec le même courage et le même enthousiasme.

Ça devient une tradition

Et les familles tunisiennes commencent à vivre à ce rythme intermittent d’examens, quasiment engagées à l’accompagnement et au suivi de leurs enfants. Ainsi, les parents se trouvent en pleine révision, en signe de soutien et d’encouragement. Cela rentre, d’ailleurs, dans une tradition bien ancrée dans le temps. Cela dit, nos examens ont leur ambition. Et là, tout candidat estime être en mesure de franchir le cap et décrocher son diplôme. Certes, il n’y a pas un mauvais élève, mais il y a, peut-être, un mauvais enseignant. Sauf qu’un effort supplémentaire mérite, tout simplement, d’être récompensé. Et ceux qui ne se sentent pas sous leur meilleur jour auraient, certes, la chance de se rattraper. Le succès n’a pas de limites. Morale : apprendre de son échec pour devenir une meilleure version de soi. Bonne chance à tous nos élèves.

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Charger plus par Kamel FERCHICHI
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