Si le citoyen lambda hésite ou n’achète carré- ment pas des chaussures tunisiennes et s’en remet à la friperie (où il est aussi constamment floué), il a — dans un certains sens — raison. C’est que des chaussures neuves, acquises à plus de cent dinars, rendent l’âme à la première pluie et notre concitoyen n’a plus qu’à les jeter. Il faut donc dans les trois cents dinars pour avoir des chaussures satisfaisantes qui résistent aux intempéries et durent quelque temps. Ce qui revient cher.
Ne peut-on pas avoir de bonnes godasses pour un prix raisonnable?
Pourquoi: Des chaussures qui ne durent pas…
Image par Arek Socha de Pixabay