
A la mémoire d’une mémoire infaillible, mon très cher papa, l’inoubliable
Abdelmajid SAHLI
(Critique musical, journaliste reporter, prof et professeur encadrant à l’I.S.M., L’I.P.S.I., L’I.S.A.D. et C.N.M, retraité)
«Les êtres chers ne meurent jamais quand on les enterre, ils meurent quand on les oublie».
Triste fut et lugubre sera à jamais le jour de ton départ pour un monde meilleur et pur très cher papa.
Cinq dures années se sont écoulées … Je ne pourrais jamais oublier vendredi 14 février 2020, ce jour tragique de ta disparition subite et atroce, très cher papa. C’est comme si c’était hier … Ce fut hier … Un jour mélancolique et sombre … La douleur de ton absence demeure aussi vivace et intense que le jour de ton départ … Tu es parti avec mes pleurs et mon âme, très cher papa. La blessure reste rebelle à toute cicatrisation. Tu me manques tellement très cher papa … Tu as laissé un grand vide que personne au monde ne pourra combler et des larmes qui ne cesseront jamais de couler… Après toi… et sans toi très cher papa … C’est la douleur, les pleurs, la tristesse, l’amertume, le silence, la souffrance, le déchirement, le chagrin, l’inquiétude, l’insécurité et le déracinement dans un monde injuste et ingrat surtout lorsqu’on est trahi par les siens. Des traîtres et des lâches ont tout volé… ton rêve … tes archives… tes œuvres…
Bref, tout ce que tu as dédié à ta fille choyée Hayet. Tes livres pleurent et ont certainement pleuré dans les mains sales de ces rancuniers … Mon cœur pleure aussi et les larmes ne cesseront jamais de couler sur mes joues très lasses…
Merci infiniment d’avoir été un père si merveilleux très cher papa. Merci de m’avoir trop protégée et trop gâtée… je ressens toujours la présence de ton âme bienveillante m’accompagnant partout … Que Dieu te bénisse! Tu étais le père, la mère et le confident.
Personne au monde ne pourra te remplacer, ni te ressembler, le temps s’est arrêté pour moi très cher papa. Il ne possède pas le pouvoir d’estomper mes souffrances d’alléger mes douleurs ni me consoler … Mon chagrin est immense…
Ton image, ta voix, ton beau sourire, ton affection paternelle et maternelle inépuisable, ta sincérité, tes conseils, ta grandeur d’âme, ton encadrement sans relâche, tes sacrifices, tes articles, tes poèmes, tes manuscrits, tes conférences, tes leçons, tes émissions… tout ce que tu as écrit et enregistré… demeurant à jamais gravés dans ma mémoire endolorie et mon cœur meurtri par tant de plaies difficiles à cicatriser.
Partir … c’est mourir … et attendre sans voir venir …
Adieu très cher papa! Repose en paix!
Que tous ceux qui t’ont connu et aimé sincèrement aient une pieuse pensée pour toi et récitent la «Fatiha» à ta mémoire.
Que Dieu le Tout—Puissant t’accorde Son infinie Miséricorde et t’accueille dans Son éternel Paradis.
Ta fille Hayet qui ne t’oubliera jamais en attendant la rencontre…