Accueil A la une Au cœur de l’approche prônée par le Président de la République : Équilibres financiers et mesures fondées  sur la justice et l’équité

Au cœur de l’approche prônée par le Président de la République : Équilibres financiers et mesures fondées  sur la justice et l’équité

La Tunisie nouvelle est en train de vivre une étape cruciale sur la voie du développement global et durable afin de poursuivre son bonhomme de chemin en vue d’une dynamique économique marquée par le facteur social destiné à faire bénéficier toutes les catégories sociales des richesses du pays et des dividendes de la croissance.

En effet, le Président de la République se montre, depuis son accession à la magistrature suprême et plus précisément depuis l’entame du processus du 25 juillet 2021, soucieux de mettre en application son projet tel que conçu depuis 2012.

Ainsi, les différentes approches de l’Etat se placent dans une optique destinée à faire ancrer, une fois pour toutes, l’Etat social grâce à une répartition équitable des richesses tout en veillant à ce que toutes les couches sociales bénéficient de l’essor et de la prospérité socioéconomiques dans un cadre d’indépendance de la décision et de la souveraineté nationales.

Ces orientations ont été clairement réaffirmées lors de la rencontre qu’a eue le Chef de l’Etat, en fin de semaine, avec la ministre des Finances, dans la mesure où les dossiers relatifs aux équilibres financiers de l’État et à la fiscalité ont été passés en revue avec une insistance particulière sur la nécessité de l’émergence de mesures fondées sur la justice et l’équité, conformément aux dispositions de la Constitution.

Dans ce même cadre, l’accent a été mis sur l’obligation de traiter les diverses questions, dont celle des biens confisqués, selon un nouvel état d’esprit et une nouvelle approche, dans le sens où les Tunisiens doivent ressentir que les affaires du pays sont gérées par un État unifié et par un ensemble d’institutions exerçant en parfaite harmonie et cohérence. 

Il est utile de mettre en exergue, à ce propos, l’appel lancé, à cette occasion, par le Président Kaïs Saïed à toutes les institutions, notamment bancaires, publiques et privées, pour qu’elle s’impliquent pleinement dans le combat pour la libération nationale.

C’est dire le souci du pouvoir de garantir lesdits équilibres financiers et budgétaires en vue de faire asseoir une stabilité économique et sociale pour tous les citoyens, et ce par le biais de l’élimination des formes précaires d’emploi, l’augmentation des crédits alloués aux aides sociales et le maintien du système de subventions, tout en continuant à mobiliser les ressources nationales et à promouvoir l’initiative privée.

C’est donc dans le cadre de ces orientations que la Tunisie a réussi la poursuite des réformes financières et économiques et la maîtrise du déficit budgétaire et de la dette tout en respectant les engagements financiers du pays, aussi bien au niveau interne qu’externe.

Rappelons, dans ce conteste, que le projet de loi de finances pour l’année 2025 constitue une application fidèle de la vision et des grandes lignes mises au point par l’État pour réussir les principaux objectifs, dont essentiellement la relance économique à travers une approche efficace en faveur, à la fois, de l’investissement et du renforcement du rôle social de l’État.

Et grâce au suivi quotidien assuré par le Chef de l’Etat, la Tunisie est en passe de relever les défis et de gagner ses paris. Les observateurs et les experts notent, effectivement, l’amélioration des indicateurs économiques et financiers et la consécration du principe de justice fiscale, de la maîtrise de l’inflation, du renforcement du pouvoir d’achat, sans oublier le développement d’un système de protection sociale conforme aux aspirations de toutes les catégories du peuple tunisien.

En un mot, il est important de noter que le volet social et les équilibres financiers constituent des constantes dans les diverses démarches présidentielles, le Chef de l’Etat ayant toujours prôné un régime fiscal transparent et équitable basé sur une fiscalité progressive, sans oublier la nécessité d’établir une relation de confiance entre le citoyen et l’administration.

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Charger plus par Noureddine HLAOUI
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