La CAF et, à sa tête, Ahmed Ahmed semblent décidés à entraver la marche glorieuse de l’Espérance. Mais quels que soient les intrigues et les résultats, l’Espérance n’en sortira que plus grandie.
Dans l’un de nos articles précédant la supercoupe d’Afrique paru juste après le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions nous n’avons pas manqué de mettre en garde contre les possibles traquenards de la CAF et spécialement d’Ahmed Ahmed. Eh bien, nos appréhensions sont loin d’être infondées car il est désormais criard que les deux représentants du football tunisien et particulièrement l’Espérance Sportive de Tunis seront les équipes à battre, non pas par leurs adversaires directs uniquement, mais surtout par les véreux et indignes responsables de la CAF qui feront tout pour empêcher l’Espérance (en particulier) de récolter d’autres titres après ceux remportés haut la main lors des deux dernières éditions.
Et les raisons, comme tout un chacun le sait, ne sont autres que les incidents ayant émaillé la dernière finale de la ligue des champions entre l’Espérance et le WAC. Et malgré le fait que le TAS (Tribunal arbitral du sport), qui est la plus haute instance juridique internationale, ait tranché en faveur de l’Espérance dans l’affaire pour laquelle il a été saisi, la «haine» vouée par les gens du WAC et certains «sympathisants» de la CAF, à leur tête le partial Ahmed Ahmed, n’a pas été apaisée pour autant.
Heureusement que l’affaire s’est limitée à un triangle étroit : l’EST, le WAC et d’une manière occultée la CAF. Elle n’a pas fait tache d’huile car les liens de fraternité entre les Tunisiens et les Marocains n’ont guère été affectés à son issue. En témoigne l’exemplaire ambiance de fraternité et de fair-play qui a marqué les deux matches ayant eu lieu dernièrement entre l’Espérance et le grand Raja Casablanca.
La machination mijotée à petit feu dans les sombres coulisses de la CAF commence à être vulgairement divulguée. L’arbitre de la supercoupe Victor Gomes a, d’une manière délibérée, refusé de faire recours à la VAR lors du but marqué par le «Sang et Or» Mohamed Ali Ben Hammouda en deuxième mi-temps, et ce, pour une position d’hors-jeu «mensongère». Et, cerise sur le gâteau, la CAF persiste et signe en poussant plus loin ses manigances visant à «faire tomber» l’Espérance. Elle n’a pas trouvé mieux qu’un arbitre de nationalité marocaine pour diriger le prochain match du Caire entre Ezzamalek et l’Espérance. C’est mesquin et irresponsable. Le moins qu’on puisse dire !
A.B.