Le gouvernement d’ Elyes Fakhfakh a obtenu la confiance de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Après un long débat qui a duré plus de 14 heures, le Parlement a approuvé dans la nuit de mercredi à jeudi l’équipe de M. Fakhfakh par 129 voix pour, 77 contre et une seule abstention sur un total de 207 députés présents.
Liberte
27 février 2020 à 09:48
Vous croyez en cet accord ? Les négociations ont été de bon train pour satisfaire tous les partis politiques financièrement en confiant tel ou tel ministère, on a vraiment besoin de 30 ministères ? Résultat personne n’est réellement satisfait mais on fait avec ce qui nous manque c’est un ministère de la corruption et des affaires bâclées.
karabaka youssef
27 février 2020 à 09:52
Enfin, espérant que c’est une bonne nouvelle pour la Tunisie et je dis bien pour la Tunisie notamment en ce qui concerne la stabilité politique et qu’il sera un gouvernement de 5 ans qui sera jugé par la suite rationnellement et en fonction des résultats réalisés.
Espérant aussi que l’air du travail pour le compte du pays est commencé et qu’on puisse semer ensemble, « step by step », l’état des lois et institutions dans le quel tous les citoyens sont égaux devant la loi et bénéficions des mêmes droits, chances, opportunités et privilèges quelque soit leur appartenance géographique, politique ou idéologique: c’est la seule chose qui assure une vraie unité nationale.
Certainement, certaines disent que cela se trouvent seulement dans la ville vertueuse de Platon. Non, cela est le minimum qu’ont trouve dans les pays démocratiques.
Sans doute, être à coté du choix de l’état des lois et institutions; nécessite des responsable, déterminons, croient irrévocablement à cette valeur et conscient qu’elle constitue, à moyen et long terme, un intérêt stratégique pour le pays.
Un travail dure et important attend ce gouvernement vue l’état critique sur tous les plans, ainsi c’est de la sagesse d’associer toutes les compétences « propres » du pays, abstraction faite de leurs appartenance, mais il faut faire attention à l’infiltration des compétences profiteuses et mafieuses.
D’ailleurs, il est à la charge de ce gouvernement d’assainir l’administration tunisienne, publique ou privé, de ce genre de compétences s’il estime avancer dans les différents dossiers et chantiers en instance. Il faut être sur que ce genre de compétences-mafieuses ont une capacité extraordinaire de s’infiltrer vue qu’ils sont capables de convaincre, au même temps de la thèse et de l’antithèse, en fonction de leurs intérêt propres. tout le monde avoue que ces derniers sont des piliers dans les réseaux de mafia et de « lobbying » : la Tunisie a besoin de compétences qui ne spéculent pas, lorsqu’il s’agit de l’intérêt du pays.