
Il y a plus de quatre ans que tu fermais doucement les yeux. Malgré notre déchirement, notre douleur s’est alors faite discrète, comme tu le souhaitais
Mohamed LASSOUED
Seule la pensée de la fin de tes souffrances nous a aidés à surmonter ce vide laissé par ton départ. Pourtant, tu nous manques encore tellement. Que de fois, nous aimerions te faire part de nos joies, de nos projets mais malgré tout, nous sommes persuadés que tu jettes toujours un coup d’œil ! Continue d’être notre ange gardien. Avec toute notre tendresse et pour toujours.
Ton épouse Rafika Fdhila, tes fils et filles
Belhassen