Annoncé sur le départ par BeIN Sports, Anis Badri pourrait retrouver le Parc B. Une idée qui peut faire son bout de chemin s’il parvient à un accord financier avec la direction du club.
L’information circule sur la toile depuis un peu plus de 24 heures. Anis Badri est sur le point de quitter Ittihad FC, une information diffusée par beIN Sports et relayée sur la toile, notamment sur les réseaux sociaux.
L’idée qu’Anis Badri retrouve le Parc B a bien germé dans les esprits de bon nombre de supporters « sang et or ». Interrogé si Badri pourrait revenir au Parc B, une source proche du club n’a pas exclu cette hypothèse. Anis Badri a toujours sa place dans l’effectif « sang et or ». C’est un joueur qui a laissé un vide depuis son départ. Son remplaçant, Abdelkader Meziane, n’a pas réussi à combler à ce jour.
Dépasser les clivages du passé
Le 15 janvier dernier, Badri s’est engagé avec Ittihad FC. Le montant du transfert avoisinait les 600 mille dollars. Un gros transfert qui a profité au joueur, mais à l’Espérance aussi.
Sauf que son départ pour l’Arabie saoudite ne s’est pas passé dans les meilleures conditions. A l’époque, on a reproché au joueur de partir en Arabie saoudite sans demander une autorisation à la direction du club. Il a même été mis hors liste pour le match disputé contre l’AS Vita Club en Ligue des champions. Le joueur aurait demandé la permission du président du club, Hamdi Meddeb, et après son départ, il a publié un message de gratitude envers le club « sang et or » et son public. Toutefois, aux yeux de certains, un petit malaise persiste encore sur les conditions du départ du joueur en janvier dernier. Un malaise qui pourrait constituer un handicap pour son retour au Parc B. C’est pourquoi il est impératif de dépasser les clivages du passé.
Si le départ d’Anis Badri d’Ittihad FC se confirme, son retour à l’EST serait une bonne chose. Le joueur a toujours sa place dans le dispositif du jeu de l’équipe. Toutefois, il doit revoir son salaire à la baisse par rapport à ce qu’il touche en Arabie saoudite.
