A la mémoire de
Mohamed HARMEL
(14 février 1929-18 septembre 2011)
9 ans déjà ! Tu nous manques, tu manques à ta famille que tu as adorée, mais tu manques aussi à ton pays pour qui tu n’as cessé de lutter depuis l’âge de 19 ans, d’abord au cours de la lutte de libération nationale, où tu as été emprisonné à plusieurs reprises, mais aussi dans l’après-indépendance pour ta défense continue de la justice sociale et de la démocratie. A propos de la révolution du 14 janvier, tu disais «Je ne suis ni optimiste, ni pessimiste mais «moutachaîl», mot emprunté à son ami l’écrivain palestinien Emile Habibi. Nous resterons toujours fidèles à tes principes : tolérance, générosité et surtout l’amour de la vie !
Ton épouse, tes enfants, tes petits et arrière-petits-enfants et tes proches