Le patron du handball africain s’est penché sur les préparatifs du futur scrutin.
Le président de la confédération africaine de handball (Cahb), Mansouro Aremo, a achevé, avant-hier, une visite de travail qu’il a effectuée en Tunisie, à l’initiative du président de la Féderation internationale de handball (IHF) qui l’a chargé, fin février, de la double mission de veiller à la fois sur les préparatifs et le déroulement des prochaines élections de la Fthb. Celles-ci, faut-il le rappeler, étaient prévues le 7 mars dernier, avant d’être reportées sine die sur «ordre» de l’IHF, qui a alors préféré les remettre à une date ultérieure, en raison de la forte tension qui sévissait dans les coulisses entre les trois listes en lice.
Quelle date pour le scrutin ?
C’est d’ailleurs sur cette tension que M. Aremo a, durant son séjour parmi nous, focalisé une bonne partie de ses entretiens avec les différentes parties concernées, en mettant l’accent sur la nécessité de faire prévaloir la sagesse et la retenue, et de respecter les règles du jeu, tout en les rassurant que la Cahb, sur instructions de l’IHF, fera tout pour que le scrutin soit démocratiquement transparent, la date du déroulement des élections n’a pas encore été fixée officiellement. En attendant, nous apprenons que, pour le moment, seules quatre listes ont déposé leurs dossiers de candidature. Il s’agit de celles conduites par Mourad Mestiri, Yassine Boudhina, Hedi Chennaoui et Karim Helali.
