À l’aube du crépuscule de mes 38 ans, j’ai découvert, à vol d’oiseau de mon nid de coucou, les plaisirs des cafés populaires à la mode tunisienne. Loin du faux bling-bling d’Instagram et les mensonges de Facebook ainsi que ses « Fake news », dans le café du Stade, à Nabeul, chez les Garali, j’ai (re)découvert les plaisirs simples de la vie. …