Derrière l’éclat de son sourire et la douceur de son regard, Naget Dahbi est une âme intranquille. «C’est le corbeau qui l’a trahie» pourrait être une comptine que lui chanteraient des enfants cruels, mais perspicaces. Son approche policée, son maintien de jeune pensionnaire de bonne famille ne cachent pas vraiment le poids de l’inquiétude, la houle d’angoisse qui pèsent sur …