Entre Naoufel Azara et Taoufik Jebali, la synergie est au rendez-vous, la perdition dans la patrie, ou perdre sa patrie est au cœur d’une œuvre complexe. Une écriture dramatique dans laquelle on s’aventure sans trop poser de questions, et on en sort plein de questionnements. Aucune date depuis la chute de la dictature, et même bien avant, ne passe, sans …