C’est toujours la même solution pour les agriculteurs tunisiens : quand la campagne d’un produit enregistre une surproduction, on a toujours recours à la destruction des quantités en surplus. C’est le cas des dattes, du lait et plus récemment des abricots qui sont vendus pourtant sur le marché à 3d,400 le kg, c’est-à-dire un prix inabordable pour les consommateurs à …