De nouvelles données publiées lundi aux Etats-Unis renforcent l’hypothèse que la lumière artificielle, la nuit, dérègle le métabolisme humain et pourrait avoir un effet sur la santé et le risque d’obésité. L’étude parue dans la revue Jama Internal Medicine n’est pas parfaite et ne représente pas de point final, mais elle ajoute sa pierre à une littérature scientifique de plus …