Par Mohamed Salah Ben Ammar * Aux pires moments de ce qui est abusivement appelé « la décennie noire », nombre de mes compatriotes ont appelé de leurs vœux, non seulement le retour à un régime présidentiel fort mais ont aussi rêvé à haute voix de l’arrivée au pouvoir d’un homme providentiel et peu importait la méthode. De toute évidence, une …