12h00, au centre hospitalo-universitaire de prise en charge des malades d’Alzheimer à l’hôpital psychiatrique Razi. L’atmosphère est calme. Une vingtaine de patients dont les visages couverts de rides dénotent un âge avancé, patientent dans le hall qui fait office de salle d’attente. Pas de bruit. Un environnement qui rompt, à vrai dire, avec le milieu hospitalier et tout ce qui …