Une chaleur suffocante dans les salles d’études. «Vraiment, on n’en peut plus», soupire H.S., étudiante à l’Iset, au sortir d’un cours d’informatique. Visiblement essoufflée, elle évoque un calvaire quotidien. «Nous avons été, raconte-t-elle, éberlués face au refus de l’administration de la faculté d’utiliser les climatiseurs, ce qui fait que nos salles de classe se sont transformées en véritables saunas, particulièrement …