Les clubs qui payent moins de salaires et de primes sont ceux qui atténuent plus le choc. Les grandes boites sont à genoux ! Les grandes écuries du foot mondial vivent un aléa terrible : pas de revenus, pas de compétitions, des salaires et des avantages colossaux, des engagements lourds et des postes d’emploi revus ou supprimés, manque de compétition …