Le bureau fédéral aura créé un précédent dangereux en s’interférant dans les affaires de la justice ordinaire. Abdessalem Saïdani, président du CAB, a été condamné à 15 jours d’emprisonnement pour infraction. C’est une affaire ordinaire qui touche un citoyen tunisien qui a les mêmes droits et obligations que tous les autres Tunisiens. Ce qui est bizarre, voire choquant, c’est l’attitude …