L’historien et professeur Mohamed Lazhar Gharbi démonte les discours traditionnels en explorant l’arrière-plan économique du protectorat. Entre dettes privées et absence d’investissements réels, il dresse le portrait d’un colonialisme qu’il qualifie d’improvisé, piloté même par l’armée française, bien loin des récits officiels. La Presse — La plupart des recherches portant sur le phénomène colonial se sont concentrées sur ses dimensions …