Grâce à la volonté politique, à une coordination entre la Commission nationale de lutte contre le terrorisme, la Direction générale des associations et la Cour des comptes, l’étau se resserre autour de plusieurs associations à but non lucratif qui avaient les coudées franches au temps de la Troïka et même quelques années après. Elles ont profité d’une certaine permissivité …